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Impressionnant, l'autrice démontre dans cette partie pourquoi les code smells et, pire encore les contre sens linguistiques, sont des obstacles à la compréhension du code.

Il est enfin temps d'écrire du code ! Et la réflexion sur le nommage des variables est bluffante, car tout y passe : abréviations ? Non. Lettres simples ? Non plus. Camel case ou snake case? Camel case. Et même le contenu du nom est étudié. C'est brillant.

Un passage intéressant sur les idées fausses introduites lorsqu'on passe d'un langage à un autre. Des idées fausses qui peuvent évidemment frapper aussi les développeurs débutants, ne disposant pas de modèles internes en nombre suffisant.

Des idées pertinents sur la compréhension du code. Certaines sont connues (lire du code est proche du langage naturel). D'autres paraissent curieusement épatantes (le rôle des variables de Sajaniemi). Ça me donne envie de développer un plugin Eclipse !

On parle de charge cognitive intrinsèque et extrinsèque, et des moyens de comprendre le code lorsqu'il dépasse ces limites en effectuant des refactoring de lisibilité, des graphes de dépendance ou des diagrammes d'état (voire en automatisant ça avec, par exemple, python tutor)

L'apprentissage de la syntaxe peut utiliser la méthode des répétitions espacées, avec les fiches de mémorisation, mais aussi la réflexion et l'élaboration lors de l'apprentissage.

La mémoire à long time stocké des concepts, et la mémoire à court terme référence ces concepts. Les développeurs experts ont mémorisé plus de concepts (constructions du ou des langages, design patterns,...) et comprennent donc mieux le code. Mais on peut aider les débutants grâce à des marqueurs (mis clés et /ou commentaires) auxquels accède la mémoire iconique (une forme de mémoire visuelle).

Premier chapitre intéressant sur la mémoire à long terme, la mémoire à court terme, et leur âge dans la lecture de code (ainsi que les sources multiples de confusion)

Pas mal, mais je sens une fascination certaine (hélas non partagée) pour l'architecture londonienne.

j'ai passé une citation marrante, du genre "la vie c'est une tempête de merde. Dès que tu t'arrêtes t'en prend plein la gueule".

j'ai apssé une citation marrante, du genre "la vie c'est une tempête de merde. Dès que tu t'arrêtes t'en prend plein la gueule".

Du brouillard de guere, un St-Malo pourri, une créature à la Frankenstein ...

Vu de l'endroit où j'en suis, la mise en valeur du corps jeune dans la pub sonne comme une possession par leurs vieux d el'image des jeunes. Autrement dit : Maïa a raison.

C'est brillant, c'est extrêmement sophistiquén et c'est complètement faux. Quel talent !

pas aussi mauvais que ce que je craignais, essentiellement parce que ce bouquin est une espèce de matérialisation d'une blague cosmique.

C'est fort. Et ça m'a aussi appris le sens de "Tuchus" (http://onlineslangdictionary.com/mean...)

J'en suis qu'au début, mais je trouve le ton particulièrement bien vu : une espèce de sérieux à la Catherine Dufour avec en plus une façon de retomber sur ses pattes vraiment intelligente.

je suis pas complètement emballé par ce bouquin ... Mais bon, on va voir, après tout, j'en suis qu'au début.

Des nouvelles inégales, je trouve, dont au moins l'une me semble une répétition de son hommage à Heinlein. Mais au moins deux joyaux.

Ca m'a l'air, pour l'instant, d'être l'un des livres les plus éclairants que j'aie pu lire. Comme le dit l'un des avis, il montre à quel point notre corps nous définit. Nous ne sommes, en fin de compte, que des animaux.

Très long et très touffu. Certains passages me seraient certainement presque inaccessibles sans (1) ma culture SF (2) ma "culture scientifique"

J'ai l'impression de commencer à comprendre des trucs fondamentaux sur l'informatique, les maths, tout ça.? Dommage que ça arrive quand ça sert plus à grand chose ....