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Pitié mais qu'on enferme Margrethe Irene, sa possessivité et ses ardeurs, dans une cage

Ce que je vais dire est méchant mais Margrethe Irene me dégoute physiquement alors qu'elle n'existe physiquement pas. Sûrement dû à la description d'Askel mais aussi à son comportement. Cette jeune demoiselle est tordue, et j'avoue que je viens d'avoir un frisson de dégoût lors d'une scène 🔞 alors qu'il n'y a aucune description. Pourtant, vraiment, elle ne m'a rien fait mais c'est comme ça. 😭

J'adore le personnage de Rebecca, tout ce qu'elle incarne dans ce livre, les morales qu'elle porte. J'ai éprouvé beaucoup de bien à l'écouter, comme si on me murmurait à l'oreille : "Eh, pourquoi tant de pression ? Tu as le choix d'abandonner".

Et c'est vrai. Il est toujours question de ne pas renoncer, de se battre. Mais parfois, il est plus agréable de se retirer. De se rendre libre.

Merci Rebecca.

« Je resterai à tes côtés jusqu'au bout. . . Même si quelque chose en moi se brise. . . »

C'est si douloureux à lire.

Par contre Margrethe Irene t'es vraiment une grosse folle. Calme tes ardeurs ma grande

À chaque fois que je reprends ce livre, je me demande s'il va réussir à toujours me captiver et maintenir sa performance sur la longueur. La réponse est oui.

J'ai bcp aimé le chapitre de discussion entre Cathrine et Askel. Ça me sidère encore comment ce récit aborde des sujets lourds mais avec ce côté détaché. Il ne cherche pas à susciter la pitié mais à dire "Il faut vivre, c'est toujours beau."

Et ça me plaît.

Ça vient juste de me traverser l'esprit mais le duo Yoshiki/Hikaru dégage la même aura que le duo Hide/Kaneki.

Et j'ai toujours adoré ce duo.

« — Il est pas malade. . . Il est homosexuel.
— Ah bon ? Genre "Elgébété" ? »

Y a pas à sortir un truc aussi drôle au milieu de toute cette tension et cette ambiance mélancolique (si, continuez.)

Je me sens très proche du protagoniste et profondément investie dans l'histoire. Le style de Bjørnstad est si agréable à lire, je dévore les pages.

J'étais même dans l'attente aujourd'hui de pouvoir continuer ce livre. Vraiment, j'espère qu'il sera à la hauteur de mes attentes !

« — [. . . ] On n'investit pas autant sa jeunesse pour rien, tu es d'accord ?
Cette phrase retentit dans mes oreilles de manière effroyable. »

Dans les miennes aussi Askel, dans les miennes aussi. . .

Je sens que c'est un livre qui va me marquer profondément. Et, je pense même que j'attendais un livre comme ça depuis un moment. J'essaie de me laisser porter sans trop lui mettre de pression, mais Bjørnstad sait trouver les tournures de phrases qui parlent à mon âme.

Funfact : à la base je devais lire La Perle de Steinbeck, mais je ne l'ai pas retrouvé. Chapitre 1, la sœur lit du Steinbeck. Volonté de me nuire ?

Pour l'instant je préfère ce tome au premier. Les interactions entre les garçons sont vraiment mimis. En revanche, je suis toujours choquée du nombre d'éléments importants qui sont totalement passés à la trappe dans les films.

J'en suis qu'au chapitre 7 et ça me rend dingue tous les éléments qu'ont omis les films. Ce n'est même pas opter pour la facilité scénaristique là, y a volonté de nuire ??



[ Spoiler ]

Je n'arrive pas à comprendre qu'à aucun moment dans les films ils ne mentionnent la télépathie entre Thomas et Teresa ?? Mais en plus Aris aussi la maîtrise, comment ce détail a pu être zappé ??

J'en suis qu'au chapitre 7 et ça me rend dingue tous les détails qu'on omit les films. C'est même pas simplifier le scénario là, c'est nuire au projet ?

Mais Minho il est là pour abattre l'ennemi et son ennemi est Newt 😭

[ SPOILERS ]






— Vous avez mis le feu à la maison ???
— Ouais mais tkt elle était assurée.

Griffin vraiment monte un one man show

[ Petit spoiler ]




Donc là, je lis une scène où Griffin jette des cailloux sur un homme pour qu'il accepte l'idée qu'il n'est pas une illusion.

C'est merveilleux ce roman, j'adore.

« La vérité, c'est que je suis là tout entier, tête, mains, jambes, et tout le reste, mais il se trouve que je suis invisible. C'est un état fort incommode, mais c'est ainsi. Ce n'est pas une raison pour qu'un péquenaud sans jugement me réduise en bouillie, il me semble. »

Le prime de l'humour ce personnage en fait

Non mais je sais que je me répète à chaque commentaire sur mes dernières lectures mais c'est vrai : c'est intéressant et j'apprends des informations vraiment sympas. Certaines ne me serviront pas directement pour mon mémoire mais je pourrais les ressortir en petite anecdote, pour me la péter dans les salons littéraires. 😎 (dans lesquels je ne vais pas mais on se sait jamais)

Alors, j'apprends des choses chouettes et l'auteur m'aide bien à exprimer des idées que je souhaite mettre en forme dans mon mémoire.

Mais alors lire que le Graal est en fait un utérus, ça, vraiment, je ne l'avais pas vu venir.

C'est expliqué et ça tient sûrement la route hein. Mais vraiment, wow quoi. Je ressors de ce moment de lecture avec la phrase "Le Graal est un utérus qui contient du sperme".

Spécial.

— You're impossible to understand.
— Do people want to be understood ?

Yashiro est vraiment un personnage qui va me laisser une marque après ma lecture. J'ai l'impression que sa philosophie est la mienne mais à un stade plus poussé que j'espère un jour atteindre. Particulier le sentiment qu'il m'inspire.

”I have lived my life accepting il all. I’ve felt no sorrow. I’ve blamed no one. My life can’t be said to be anoyne else’s fault. I came to know the loneliness of loving someome.”

BUT BRO ME I’VE FEEL SORROW