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Le marteau rouge : mon conte préféré jusqu’ici !

La fleur sacrée : la vie de cet éléphant vertueux, blanc et intelligent et d’Aor, son ami homme. Un conte sur les vies antérieures et futures, ouvrant le cœur des enfants au rêve de ce que nous pouvons devenir de meilleur et de mieux. Que cela dessine pour nous une ligne d’horizon à fixer.

Le Chêne parlant : un conte pour apprendre la bonté, le goût du travail, l’amour de la nature, le romantisme d’un geste symbolique porté à la mémoire de ce que l’on aime, et l’amour des arbres.

« J’avais rien demandé »…  « Mais je ne l’ai jamais dit, ça m’aurait fait d’autres problèmes »

Neuvième veillée : Brulette s’élève à l’érudition des muletiers, par amour peut être. Joseph et malade et Huriel s’en vient donner des nouvelles aux deux berrichons.

Huitième veillée : Huriel musette et fait chanter et crier tout le bourg.

Septième veillée : qui sera le maître de la danse ?

Sixième veillée : la rencontre avec autrui.
Tiennet (Étienne!) fait la rencontre de l’encharbonné Huriel. Apres la lutte viens le vin, et la confrontation de deux pays : le Berrichon et le Bourbonnais. Eux aussi luttent avant de partager une table, celle de la fraternité.

Cinquième veillée : Joseph est devenu le personnage principal, et le mystère a maintenant épaissi comme la brume de juillet. Le clairin sonne dans le noir et fait courir les mulets comme les hommes qui n’y connaissent rien. Et le lecteur aussi halète. Je veux suivre ! Dit-il.

Quatrième veillée : l’éveil.
Joseph flûte pour la première fois et transmet des images à Brulette et au lecteur. Petit à petit, nous commençons à nous ranger du côté de ceux qui comprennent, qui entendent, qui voient, et à nous désolidariser de Tiennet. C’est l’opposition entre la raison bête et l’inspiration folle.

Troisième veillée : la rencontre avec la superstition. Le personnage de Joseph se complexifie, intrigue et inquiète. Il est bâti de sorte à exciter toutes sortes de pensées, et le lecteur est laissé tel Tiennet, seul avec ses préjugés et ses croyances.

Deuxième veillée. Nous découvrons la « maladie » de Joseph : l’égoïsme. Nous découvrons aussi Brulette devenir une femme convoitée. Et nous découvrons le prénom du narrateur : Tiennet. Chacun a été loué pour sa jeunesse dans diverses fermes et champs, et l’on s’étonne de la personne de Joseph aux yeux immenses qui ne lui servent de rien.

La première veillée est un chapitre d’initiation. Des blés, le narrateur rencontre les fleurs aux cheveux longs, et la valeur du travail bien fait. Des amis, il découvre la valeur de l’héritage. Après la première communion, les fillettes deviennent des femmes.