Pehel’s Reviews > La Société des jeunes pianistes > Status Update
Like flag
Pehel’s Previous Updates
Pehel
is on page 352 of 443
Pitié mais qu'on enferme Margrethe Irene, sa possessivité et ses ardeurs, dans une cage
— Nov 06, 2025 06:15PM
Pehel
is on page 304 of 443
Ce que je vais dire est méchant mais Margrethe Irene me dégoute physiquement alors qu'elle n'existe physiquement pas. Sûrement dû à la description d'Askel mais aussi à son comportement. Cette jeune demoiselle est tordue, et j'avoue que je viens d'avoir un frisson de dégoût lors d'une scène 🔞 alors qu'il n'y a aucune description. Pourtant, vraiment, elle ne m'a rien fait mais c'est comme ça. 😭
— Nov 06, 2025 05:22PM
Pehel
is on page 293 of 443
J'adore le personnage de Rebecca, tout ce qu'elle incarne dans ce livre, les morales qu'elle porte. J'ai éprouvé beaucoup de bien à l'écouter, comme si on me murmurait à l'oreille : "Eh, pourquoi tant de pression ? Tu as le choix d'abandonner".
Et c'est vrai. Il est toujours question de ne pas renoncer, de se battre. Mais parfois, il est plus agréable de se retirer. De se rendre libre.
Merci Rebecca.
— Nov 04, 2025 05:11PM
Et c'est vrai. Il est toujours question de ne pas renoncer, de se battre. Mais parfois, il est plus agréable de se retirer. De se rendre libre.
Merci Rebecca.
Pehel
is on page 228 of 443
Par contre Margrethe Irene t'es vraiment une grosse folle. Calme tes ardeurs ma grande
— Nov 02, 2025 04:54PM
Pehel
is on page 228 of 443
À chaque fois que je reprends ce livre, je me demande s'il va réussir à toujours me captiver et maintenir sa performance sur la longueur. La réponse est oui.
J'ai bcp aimé le chapitre de discussion entre Cathrine et Askel. Ça me sidère encore comment ce récit aborde des sujets lourds mais avec ce côté détaché. Il ne cherche pas à susciter la pitié mais à dire "Il faut vivre, c'est toujours beau."
Et ça me plaît.
— Nov 02, 2025 04:53PM
J'ai bcp aimé le chapitre de discussion entre Cathrine et Askel. Ça me sidère encore comment ce récit aborde des sujets lourds mais avec ce côté détaché. Il ne cherche pas à susciter la pitié mais à dire "Il faut vivre, c'est toujours beau."
Et ça me plaît.
Pehel
is on page 116 of 443
Je me sens très proche du protagoniste et profondément investie dans l'histoire. Le style de Bjørnstad est si agréable à lire, je dévore les pages.
J'étais même dans l'attente aujourd'hui de pouvoir continuer ce livre. Vraiment, j'espère qu'il sera à la hauteur de mes attentes !
— Oct 24, 2025 05:10PM
J'étais même dans l'attente aujourd'hui de pouvoir continuer ce livre. Vraiment, j'espère qu'il sera à la hauteur de mes attentes !
Pehel
is on page 97 of 443
« — [. . . ] On n'investit pas autant sa jeunesse pour rien, tu es d'accord ?
Cette phrase retentit dans mes oreilles de manière effroyable. »
Dans les miennes aussi Askel, dans les miennes aussi. . .
— Oct 24, 2025 04:45PM
Cette phrase retentit dans mes oreilles de manière effroyable. »
Dans les miennes aussi Askel, dans les miennes aussi. . .
Pehel
is on page 70 of 443
Je sens que c'est un livre qui va me marquer profondément. Et, je pense même que j'attendais un livre comme ça depuis un moment. J'essaie de me laisser porter sans trop lui mettre de pression, mais Bjørnstad sait trouver les tournures de phrases qui parlent à mon âme.
Funfact : à la base je devais lire La Perle de Steinbeck, mais je ne l'ai pas retrouvé. Chapitre 1, la sœur lit du Steinbeck. Volonté de me nuire ?
— Oct 22, 2025 04:38PM
Funfact : à la base je devais lire La Perle de Steinbeck, mais je ne l'ai pas retrouvé. Chapitre 1, la sœur lit du Steinbeck. Volonté de me nuire ?

