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Sometimes I am terrified by my heart,
By its constant hunger for everything it wants.
By the way it stops and starts again.

Je viens de finir le chapitre 20 et Ollie me révulse, je ne comprends tellement pas ses choix. Et Mia ?? Ma belle, où est ta dignité ???
Bref, je n’ai même pas envie de finir. Je ne comprends pas, et je n’y vois plus aucun intérêt.
En tout cas, belle déception. J’avais tellement d’attentes pour cette trilogie. /4

Mais là ?? Le tome 3 est tout sauf nécessaire et n’a aucun sens. Je ne comprends absolument pas où l’autrice veut nous mener. Dans ce contexte-là, on enchaîne juste les douleurs et les drames, sans aucune leçon ni résilience derrière. Les pages défilent et les événements deviennent de plus en plus dérangeants. /3

Le deuxième était plus dur, avec déjà cette touche de « dégoût », mais ça évoluait et ça tenait la route, donc je me suis dit : “allez, pourquoi pas, peut-être que je n’ai juste pas assez de recul sur ce qu’il se passe.”

Je déteste absolument tout ce qu’il se passe : ça part dans tous les sens, c’est juste incompréhensible. En fait, ça devient même dérangeant et répugnant, repoussant, et tout ce qui va avec.
Le premier tome n’était pas parfait, mais le fond était tellement bon que ma lecture m’avait réellement percutée. /1

“I had learned three things about myself. First, I was not a sociopath at all—I never had been. Second, I would always be in love with Oliver Masters. And third, I didn't know who I was without him.”

“— You may lose your mind, Mia, but you will never lose me.”

“I hate the fact that every time you're away from me, the pain eats away at me from the inside as if I were slowly dying. I hate it.”

“I had never asked for that. Livy's murder had taught me a lot. Anyone was capable of doing anything when grief mixed with anger. In my case, a ruthless monster was born.”

“I could have written an entire book about her eyes, her smile, her kisses, her lips, how she made me feel, and the fact that the combined strength of all the men on the planet couldn't rival hers. I admired Mia, just as I admired what she was capable of.”