Histoire Quotes
Quotes tagged as "histoire"
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“Bientôt son pourpoint devint trop serré pour les battements de son cœur, et il l'arracha. Bientôt son épée devint trop lourde pour sa main, et il la jeta loin de lui.”
― La Reine Margot, Tome I
― La Reine Margot, Tome I
“A chaque fois qu'un bâtiment patrimonial est démoli, c'est une partie de nous qui vole en éclats. Aimons et préservons les témoins de notre passé.”
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“Parce que chaque histoire d'amour
Craint qu'il y ait un certain glamour!”
― L'Amante de Victor Hugo
Craint qu'il y ait un certain glamour!”
― L'Amante de Victor Hugo
“Nécessairement imparfait, un traité de paix ne peut, à lui seul. résoudre tous les problèmes qui ont justifié la guerre à laquelle il est supposé mettre fin, pas plus que ses concepteurs ne peuvent anticiper tous les changements entraînés par la guerre elle-même. Il n'est, en définitive, que ce que les puissances qui l'ont signé, (…), veulent bien en faire. Il participe d'une construction en devenir qui, (…), suppose modération et compréhension - (Pierre Journoud, page 79, 2012).”
― Comprendre la guerre : Histoire et notions
― Comprendre la guerre : Histoire et notions
“Mânes de Wolfe et de Montcalm, tombés tous deux le même jour au champ d'honneur, mânes de Lévis, dont le dernier combat sur les bords du Saint-Laurent fut une suprême victoire ; mânes de Montmorency-Laval, qui fut le fondateur de ce vigoureux système d'éducation dont nous récoltons aujourd'hui les résultats ; mânes des martyres de 1837-38, victimes patriotiques dont le sang a fait germer nos libertés politiques ; mânes de Lafontaine et de Baldwin, champions de nos droits constitutionnels ; mânes de Cartier ; mânes de Chapleau ; mânes de Mercier, vous planez en ce moment sur nos têtes ; vous êtes les témoins du spectacle de tout un peuple réuni ici pour se souvenir.
Quand vous repartirez ce soir, pour retourner vers ces régions de l'au-delà qu'on appelle le ciel, emportez avec vous l'hymne de reconnaissance, la prière de ce peuple qui est venu s'agenouiller ce matin devant l'autel du Tout-Puissant, pour le remercier et lui demander sa protection pour l'avenir.”
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Quand vous repartirez ce soir, pour retourner vers ces régions de l'au-delà qu'on appelle le ciel, emportez avec vous l'hymne de reconnaissance, la prière de ce peuple qui est venu s'agenouiller ce matin devant l'autel du Tout-Puissant, pour le remercier et lui demander sa protection pour l'avenir.”
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“S'il est une leçon que doit retenir la jeunesse, c'est que la survivance d'un peuple se
conquiert beaucoup moins par les beaux coups d'éclat, par les victoires d'éloquence, que par les œuvres constructives. Être fort pour un peuple, c'est l'être d'abord par la vigueur intérieure de son âme, par sa constitution sociale, économique, intellectuelle, morale. Cela même
est la première condition de défense contre
l'ennemi extérieur; pour être un bon soldat il
faut être physiquement et moralement bien
constitué.”
― Notre maître le passé
conquiert beaucoup moins par les beaux coups d'éclat, par les victoires d'éloquence, que par les œuvres constructives. Être fort pour un peuple, c'est l'être d'abord par la vigueur intérieure de son âme, par sa constitution sociale, économique, intellectuelle, morale. Cela même
est la première condition de défense contre
l'ennemi extérieur; pour être un bon soldat il
faut être physiquement et moralement bien
constitué.”
― Notre maître le passé
“S'il est une leçon que doit retenir la jeunesse, c'est que la survivance d'un peuple se conquiert beaucoup moins par les beaux coups d'éclat, par les victoires d'éloquence, que par les œuvres constructives. Être fort pour un peuple, c'est l'être d'abord par la vigueur intérieure de son âme, par sa constitution sociale, économique, intellectuelle, morale. Cela même est la première condition de défense contre
l'ennemi extérieur; pour être un bon soldat il
faut être physiquement et moralement bien
constitué.”
― Notre maître le passé
l'ennemi extérieur; pour être un bon soldat il
faut être physiquement et moralement bien
constitué.”
― Notre maître le passé
“S'il est une leçon que doit retenir la jeunesse, c'est que la survivance d'un peuple se
conquiert beaucoup moins par les beaux coups d'éclat, par les victoires d'éloquence, que par les œuvres constructives. Être fort pour un peuple, c'est l'être d'abord par la vigueur intérieure de son âme, par sa constitution sociale, économique, intellectuelle, morale. Cela même est la première condition de défense contre l'ennemi extérieur; pour être un bon soldat il faut être physiquement et moralement bien constitué.”
― Notre maître le passé
conquiert beaucoup moins par les beaux coups d'éclat, par les victoires d'éloquence, que par les œuvres constructives. Être fort pour un peuple, c'est l'être d'abord par la vigueur intérieure de son âme, par sa constitution sociale, économique, intellectuelle, morale. Cela même est la première condition de défense contre l'ennemi extérieur; pour être un bon soldat il faut être physiquement et moralement bien constitué.”
― Notre maître le passé
“S'il est une leçon que doit retenir la jeunesse, c'est que la survivance d'un peuple se conquiert beaucoup moins par les beaux coups d’éclat, par les victoires d'éloquence, que par les œuvres constructives. Être fort pour un peuple, c'est l'être d'abord par la vigueur intérieure de son âme, par sa constitution sociale, économique, intellectuelle, morale. Cela même est la première condition de défense contre l'ennemi extérieur; pour être un bon soldat il faut être physiquement et moralement bien constitué.”
― Notre maître le passé
― Notre maître le passé
“La fierté fut bien, dans le passé tout proche, l'une des vertus qui nous ont le plus manqué, quand fort peu pourtant nous étaient aussi nécessaires. Un peuple faible par le nombre, peut se passer, à la rigueur, de richesse et même d'art; il ne saurait se passer d'être fier. Pour vivre il faut d'abord se convaincre que la vie en vaut la peine; et notre peuple n'aura plus de raisons de perpétuer sa race quand il y aura vu la cause d'une infériorité. Pour être fiers, les jeunes n'ont besoin que de savoir qui ils sont. Il n'appartient pas aux fils des grands Français qui ont bâti ce chef-d’œuvre d'histoire que fut la Nouvelle-France, de chercher ailleurs que chez eux, les raisons de leur dignité. Si cette gloire fut entachée d'une défaite, nos pères ont empêché que cette défaite fût irréparable; il y a même beau temps qu'ils l'ont rachetée. Aujourd'hui, dans notre pays, où notre ordre social fait l'envie des autres, nous n'avons que le déshonneur de nous mal juger nous-mêmes. Nous sommes pourtant la race qui n'a jamais violé le droit d'autrui. Persécutés souvent, nous n'avons jamais été persécuteurs. Le service de la civilisation par la propagande de la foi du Christ, plus que personne en Amérique, nous l'avons pratiqué. Tous ces motifs de fierté suffiraient à de moins inattentifs.”
― Notre maître le passé
― Notre maître le passé
“C'est un instinct des peuples, aux heures troublantes de leur vie, que de se retourner vers les grands noms de leur passé.”
― Notre maître le passé
― Notre maître le passé
“C'est le magistère de l'histoire, incessante
transfusion de l'âme des pères dans l'âme des
fils, qui maintient une race invariable en son
fond. Pour des petits peuples comme le nôtre, mal assurés de leur destin, exposés à douter de leur avenir, c'est l'histoire, "conscience vigilante et collective d'une société fière d'elle-même," (G.
Kurth), qui détermine les suprêmes fidélités.
Pour une race démembrée et dispersée comme la race française d'Amérique, c'est encore l'histoire, reliant aux mêmes souvenirs, faisant communier à l'idéal des mêmes aïeux, qui maintient, malgré les distances, l'essentielle fraternité.”
― Notre maître le passé
transfusion de l'âme des pères dans l'âme des
fils, qui maintient une race invariable en son
fond. Pour des petits peuples comme le nôtre, mal assurés de leur destin, exposés à douter de leur avenir, c'est l'histoire, "conscience vigilante et collective d'une société fière d'elle-même," (G.
Kurth), qui détermine les suprêmes fidélités.
Pour une race démembrée et dispersée comme la race française d'Amérique, c'est encore l'histoire, reliant aux mêmes souvenirs, faisant communier à l'idéal des mêmes aïeux, qui maintient, malgré les distances, l'essentielle fraternité.”
― Notre maître le passé
“C'est le magistère de l'histoire, incessante transfusion de l'âme des pères dans l'âme des fils, qui maintient une race invariable en son
fond. Pour des petits peuples comme le nôtre, mal assurés de leur destin, exposés à douter de leur avenir, c'est l'histoire, "conscience vigilante et collective d'une société fière d'elle-même," (G.
Kurth), qui détermine les suprêmes fidélités. Pour une race démembrée et dispersée comme la race française d'Amérique, c'est encore l'histoire, reliant aux mêmes souvenirs, faisant communier à l'idéal des mêmes aïeux, qui maintient, malgré les distances, l'essentielle fraternité.”
― Notre maître le passé
fond. Pour des petits peuples comme le nôtre, mal assurés de leur destin, exposés à douter de leur avenir, c'est l'histoire, "conscience vigilante et collective d'une société fière d'elle-même," (G.
Kurth), qui détermine les suprêmes fidélités. Pour une race démembrée et dispersée comme la race française d'Amérique, c'est encore l'histoire, reliant aux mêmes souvenirs, faisant communier à l'idéal des mêmes aïeux, qui maintient, malgré les distances, l'essentielle fraternité.”
― Notre maître le passé
“C'est le magistère de l'histoire, incessante transfusion de l'âme des pères dans l'âme des fils, qui maintient une race invariable en son
fond. Pour des petits peuples comme le nôtre, mal assurés de leur destin, exposés à douter de leur avenir, c'est l'histoire, "conscience vigilante et collective d'une société fière d'elle-même," (G. Kurth), qui détermine les suprêmes fidélités. Pour une race démembrée et dispersée comme la race française d'Amérique, c'est encore l'histoire, reliant aux mêmes souvenirs, faisant communier à l'idéal des mêmes aïeux, qui maintient, malgré les distances, l'essentielle fraternité.”
― Notre maître le passé
fond. Pour des petits peuples comme le nôtre, mal assurés de leur destin, exposés à douter de leur avenir, c'est l'histoire, "conscience vigilante et collective d'une société fière d'elle-même," (G. Kurth), qui détermine les suprêmes fidélités. Pour une race démembrée et dispersée comme la race française d'Amérique, c'est encore l'histoire, reliant aux mêmes souvenirs, faisant communier à l'idéal des mêmes aïeux, qui maintient, malgré les distances, l'essentielle fraternité.”
― Notre maître le passé
“C'est le magistère de l'histoire, incessante transfusion de l'âme des pères dans l'âme des fils, qui maintient une race invariable en son fond. Pour des petits peuples comme le nôtre, mal assurés de leur destin, exposés à douter de leur avenir, c'est l'histoire, "conscience vigilante et collective d'une société fière d'elle-même," (G. Kurth), qui détermine les suprêmes fidélités. Pour une race démembrée et dispersée comme la race française d'Amérique, c'est encore l'histoire, reliant aux mêmes souvenirs, faisant communier à l'idéal des mêmes aïeux, qui maintient, malgré les distances, l'essentielle fraternité.”
― Notre maître le passé
― Notre maître le passé
“C’est un samedi semblable à bien d’autres, pourtant unique. Sur la capitale, le ciel est dégagé, laissant au soleil levant le soin de chauffer les façades en pierre de taille. Une brume de chaleur s’étend au-dessus de la Seine, les pêcheurs matinaux se rafraîchissent le visage avec l’eau du fleuve. Sous le pont Alexandre III, quelques chanceux moulinent leur fil avec une carpe ou une grémille suffisamment naïve pour se piquer la lèvre sur leur hameçon. Ceux-là feront la fierté de leur femme et ils s’imaginent rentrer hardiment dans leur appartement, accueillis comme de réels héros pour avoir attrapé une proie de trois cents grammes tout au plus, qui nourrirait à peine un chaton. Mais le sourire de ces hommes se contemple avec beauté, car eux aussi seront bientôt chassés, mais ils ne s’en doutent pas. L’innocence des jours heureux se dessine sur leur visage.”
― Deux frères (La Troisième clef)
― Deux frères (La Troisième clef)
“S’il est une leçon que doit retenir la jeunesse, c’est que la survivance d’un peuple se conquiert beaucoup moins par les beaux coups d’éclat, par les victoires d’éloquence, que par les œuvres constructives. Être fort pour un peuple, c’est l’être d’abord par la vigueur intérieure de son âme, par sa constitution sociale, économique, intellectuelle, morale. Cela même est la première condition de défense contre l’ennemi extérieur; pour être un bon soldat il faut être physiquement et moralement bien constitué.
La fierté fut bien, dans le passé tout proche, l’une des vertus qui nous ont le plus manqué, quand fort peu pourtant nous étaient aussi nécessaires. Un peuple faible par le nombre, peut se passer, à la rigueur, de richesse et même d’art; il ne saurait se passer d’être fier. Pour vivre il faut d’abord se convaincre que la vie en vaut la peine; et notre peuple n’aura plus de raisons de perpétuer sa race quand il y aura vu la cause d’une infériorité. Pour être fiers, les jeunes n’ont besoin que de savoir qui ils sont. Il n’appartient pas aux fils des grands Français qui ont bâti ce chef-d’œuvre d’histoire que fut la Nouvelle-France, de chercher ailleurs que chez eux, les raisons de leur dignité. Si cette gloire fut entachée d’une défaite, nos pères ont empêché que cette défaite fût irréparable; il y a même beau temps qu’ils l’ont rachetée. Aujourd’hui, dans notre pays, où notre ordre social fait l’envie des autres, nous n’avons que le déshonneur de nous mal juger nous-mêmes. Nous sommes pourtant la race qui n’a jamais violé le droit d’autrui. Persécutés souvent, nous n’avons jamais été persécuteurs. Le service de la civilisation par la propagande de la foi du Christ, plus que personne en Amérique, nous l’avons pratiqué. Tous ces motifs de fierté suffiraient à de moins inattentifs.”
― Notre maître le passé
La fierté fut bien, dans le passé tout proche, l’une des vertus qui nous ont le plus manqué, quand fort peu pourtant nous étaient aussi nécessaires. Un peuple faible par le nombre, peut se passer, à la rigueur, de richesse et même d’art; il ne saurait se passer d’être fier. Pour vivre il faut d’abord se convaincre que la vie en vaut la peine; et notre peuple n’aura plus de raisons de perpétuer sa race quand il y aura vu la cause d’une infériorité. Pour être fiers, les jeunes n’ont besoin que de savoir qui ils sont. Il n’appartient pas aux fils des grands Français qui ont bâti ce chef-d’œuvre d’histoire que fut la Nouvelle-France, de chercher ailleurs que chez eux, les raisons de leur dignité. Si cette gloire fut entachée d’une défaite, nos pères ont empêché que cette défaite fût irréparable; il y a même beau temps qu’ils l’ont rachetée. Aujourd’hui, dans notre pays, où notre ordre social fait l’envie des autres, nous n’avons que le déshonneur de nous mal juger nous-mêmes. Nous sommes pourtant la race qui n’a jamais violé le droit d’autrui. Persécutés souvent, nous n’avons jamais été persécuteurs. Le service de la civilisation par la propagande de la foi du Christ, plus que personne en Amérique, nous l’avons pratiqué. Tous ces motifs de fierté suffiraient à de moins inattentifs.”
― Notre maître le passé
“Cependant, toutes les histoires – je parle des vraies, hein, pas de celles où des ados à grande gueule se transforment en espions-ninjas, ou dont les protagonistes vieillissants renversent leur petite vie privilégiée sur un coup de tête et vont ouvrir une librairie d’occasion à Barcelone, où ils découvrent enfin l’amour – ont besoin de nous pour survivre. Les êtres humains sont les nuages d’où pleuvent les histoires, mais nous sommes également les éclats de verre qui en réfractent la lumière, qui en polarisent les rayons jusqu’à les rendre brûlants.”
― La Vie ô combien ordinaire d'Hannah Green
― La Vie ô combien ordinaire d'Hannah Green
“On juge normal le départ de nos aînés, une normalité qui ne procure ni baume ni consolation mais nous laisse au contraire l'impression que plus rien ne sera pareil.”
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“Quel que soit l'âge auquel on apprend la mort de ses parents, ce jour-là tue l'enfant. Devenir orphelin, c'est devenir veuf de son enfance.”
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“Durant ce dialogue, je mesurai à quel point nos esprits fonctionnaient à l'opposé : j'acceptais la complexité, il simplifiait ; je bricolais pour améliorer, il éradiquait pour transformer ; je composais avec la réalité, il en faisait table rase ; si de mon côté je pratiquais l'accommodement, du sien il recourait à la violence ; tandis que je réformais, il révolutionnait.”
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“L’heure n’est plus au tangible, au corporel, au physique. Les instruments avec un manche, un bracelet, un afficheur ont rejoint le Polaroid Kodak, le bonnet de nuit et les Jeunes giscardiens dans les caves de l’histoire humaine. L’avenir est à la virtualité, au dématérialisé – au décérébré, a ajouté mon encéphale en ricanant.”
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“Un mouvement autonomiste s'ébauchait déjà au Canada avant la conquête”
― Notre maître le passé
― Notre maître le passé
“Pour le pouvoir, le peuple n'a pas besoin de vérité mais de mythes. On ne construit pas de mythes avec les vivants [...]”
― Anton
― Anton
“Qui contrôle le récit contrôle le peuple.”
― I Vicdansaadet Speaking: No Rest Till The World is Lifted
― I Vicdansaadet Speaking: No Rest Till The World is Lifted
“L'hégélianisme interprète la longue histoire de l'humanité comme ayant un sens : c'est la liberté de l'homme progressant étape par étape. L'histoire est faite de chocs successifs, c'est la prise en compte de défis. L'histoire des sociétés progresse, et au bout, l'homme ayant atteint sa liberté complète, nous avons l'État démocratique dans sa forme idéale.”
― Indignez-vous !
― Indignez-vous !
“Le motif de base de la Résistance était l'indignation. Nous, vétérans des mouvements de résistance et des forces combattantes de la France libre, nous appelons les jeunes générations à faire vivre, transmettre, l'héritage de la Résistance et ses idéaux. Nous leur disons : Indignez-vous ! Les responsables politiques, économiques, intellectuels et l'ensemble de la société ne doivent pas démissionner, ni se laisser impressionner par l'actuelle dictature internationale des marchés financiers qui menace la paix et la démocratie.
Je vous souhaite à tous, à chacun d'entre vous, d'avoir votre motif d'indignation. C'est précieux. Quand quelque chose vous indigne comme j'ai été indigné par le nazisme, alors on devient militant, fort et engagé. On rejoint ce courant de l'histoire et le grand courant de l'histoire doit se poursuivre grâce à chacun. Et ce courant va vers plus de justice, plus de liberté mais pas cette liberté incontrôlée du renard dans le poulailler.”
― Indignez-vous !
Je vous souhaite à tous, à chacun d'entre vous, d'avoir votre motif d'indignation. C'est précieux. Quand quelque chose vous indigne comme j'ai été indigné par le nazisme, alors on devient militant, fort et engagé. On rejoint ce courant de l'histoire et le grand courant de l'histoire doit se poursuivre grâce à chacun. Et ce courant va vers plus de justice, plus de liberté mais pas cette liberté incontrôlée du renard dans le poulailler.”
― Indignez-vous !
“Plus un peuple se souvient, plus il est fort, fier, responsable et confiant envers son avenir.”
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“Plus un peuple se souvient, plus il est fort, fier, responsable et confiant envers son avenir.”
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