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Il y a finalement un récit, mais il dure 50 pages.

Style un peu ronflant, un peu trop "bourgeois conservateur". Souligne quelques bons points (tel que le besoin d'identification du spectateur), mais demeure suranné.

Quelques centaines de pages et on a l'impression que seulement deux événements se soient produits dans le livre. Hang in there, Stendhal.

Tout simplement hallucinant.

Finalement, après 60% du livre, les auteurs nous mettent un véritable cas de figure sur lequel cogiter un peu. C'est pas que les 12 (?) premiers chapitres commençaient à être chiants... mais un peu, beaucoup quand même.

On rentre dans la psychologie de l'épargne pour la retraite. Hawwwth Stuff.

Les idées énoncées sont individuellement intéressantes, mais elles sont rarement contextualisées ou mises en commun pour une compréhension plus globale du "libertarian paternalism." J'espère que les prochains chapitres seront plus "deep".

Quelle magnifique plume onirique. Semble très inspirée par Proust.

Y'en aura pas de facile en mandarin!

Très décevant. D'entrée de jeu, on se tape un chapitre 5 obtus, avec un modèle théorique non expliqué, pour ensuite l'appliquer dans le chapitre 6, chapitre représentant le "coeur de l'analyse" du livre. Je n'ai jamais été un fan du cadre constructiviste, mais l'analyse reste superficielle, surdéterminée et avec une variété de sources très faible. Au final, l'auteure conclut que "parce les identités son différentes..

J'ai été complètement largué par ce chapitre 5. Aucune mise en contexte de la théorie d'Autessere ni aucun aide visuel. J'ai beau avoir travaillé avec le modèle du référentiel de Müller et la "garbage can theory" de March et Olsen, l'auteure s'attend à ce qu'on comprenne l'une des théorie organisationnelle les plus abstraites de l'administration publique à froid.

Pour le moment, intéressant. La recherche semble étayée et s'inspire de plusieurs sources en sciences politiques et administration publique. Par contre, après le deuxième chapitre, on est encore dans la définition de la problématique... ce qui est respectable pour un livre académique.

Extrêmement frustrant et pénible à lire pour le moment. Je ne suis pas un expert sur les statistiques environnementales, mais pour les questions touchant à la science politique, l'auteure se gourre royalement. Et c'est ainsi peu étonnant que Bill Gates endosse ce livre.

Pour le moment, ça se tient encore. Cependant, on voit rapidement qu'Harari est un historien de formation (méthodologie qu'il maîtrise très bien), mais que l'aspect techno-scientifique reste beaucoup plus... spéculative?