Goodreads helps you follow your favorite authors. Be the first to learn about new releases!
Start by following Sorj Chalandon.
Showing 1-28 of 28
“La guerre était folie ? Sam disait que la paix devait l’être aussi. Il fallait justement proposer l’inconcevable.”
― Le Quatrième Mur
― Le Quatrième Mur
“Une fois même, sur le chemin du retour, il a pris ma main. Et moi, j'ai eu mal. Je savais que cette main redeviendrait poing, qu'elle passerait bientôt du tendre au métal. Dans une heure ou demain et sans que je sache pourquoi. Par méchanceté, par orgueil, par colère; par habitude. J'étais prisonnier de la main de mon père. Mais cette nuit-là, mes doigts mêlés aux siens, j'avais profité de sa chaleur.”
― Retour à Killybegs
― Retour à Killybegs
“- حالا دیگر همه ی پول هایت مال خودت است
جواب ندادم. کودکی ام از هم پاشیده شده بود. پیش از خواب، دفترهای طرح، رنگ ها و قلم موهایم را جمع کردم و در یک ساک گذاشتم. برای نخستین بار، از آنچه در زندگی حقیرانه ام داشتم صورت برداری کردم. لباس هایم در یک گنجه و سه کشو جا داشتند. کل دارایی ام دو جفت کفش، یک پالتو، چند کتاب و یک چمدان بود. جز این ها، نه چیزی داشتم و نه کسی.”
― Profession du père
جواب ندادم. کودکی ام از هم پاشیده شده بود. پیش از خواب، دفترهای طرح، رنگ ها و قلم موهایم را جمع کردم و در یک ساک گذاشتم. برای نخستین بار، از آنچه در زندگی حقیرانه ام داشتم صورت برداری کردم. لباس هایم در یک گنجه و سه کشو جا داشتند. کل دارایی ام دو جفت کفش، یک پالتو، چند کتاب و یک چمدان بود. جز این ها، نه چیزی داشتم و نه کسی.”
― Profession du père
“آن وقت به خودم گفتم لابد روال کار همین است. تا وقتی که مسئله ای پیش نیامده است، درباره ی آن حرف می زنیم و در لحظه ای که در آستانه ی واقعیت قرار می گیریم و باید قدمی برداریم، سکوت می کنیم.”
― Profession du père
― Profession du père
“Todos luchaban porque esperaban librarse. Era práctico. Era despreciable. Mientras que la tragedia era gratuita. Carecía de esperanza.”
― Le quatrième mur
― Le quatrième mur
“روزی یکی از دوستانم برایم از پدر و مادرش گفت. آن ها یهودی بودند. در زمان جنگ، پدرش یک هفت تیر کهنه ی انگلیسی را لا به لای تلی از پارچه ها پنهان کرده و با چرخ دوخته بود و مادر هر جا می رفت، یک تیغ ریش تراشی در کیفش داشت تا اگر دستگیرش کردند، اعتراف نکند. مادرش هجده سال داشت و پدرش کمی بیشتر. از او پرسیدم:
- خودشان را برای مردن آماده کرده بودند؟
لبخند زد. نه به هیچ وجه. برای زندگی.
مدت ها به این جمله فکر کردم. آماده ی زندگی . و آن روز که در بزرگسالی پیش پدرم برگشته بودم، دانستم که او نتوانسته بود بر من غلبه کند. کینه و نفرت، روحم را نابود نکرده بود. هفت تیر و تیغ ریش تراشی ام را کنار گذاشته بودم. آماده ی زندگی بودم.”
― Profession du père
- خودشان را برای مردن آماده کرده بودند؟
لبخند زد. نه به هیچ وجه. برای زندگی.
مدت ها به این جمله فکر کردم. آماده ی زندگی . و آن روز که در بزرگسالی پیش پدرم برگشته بودم، دانستم که او نتوانسته بود بر من غلبه کند. کینه و نفرت، روحم را نابود نکرده بود. هفت تیر و تیغ ریش تراشی ام را کنار گذاشته بودم. آماده ی زندگی بودم.”
― Profession du père
“در یک کتاب جاسوسی خوانده بودم که ماموران مخفی پیام ها را در روزنامه ها می گنجانند. روش این کار، برای مثال، انتخاب یک کلمه از پنج کلمه یا یک حرف از ده حرف بود. کافی بود رمز را بدانی تا پیام را کشف کنی. من یکی از این پیام ها را در اختیار داشتم. من امیل شولان.”
― Profession du père
― Profession du père
“Mon père avait été pasteur pentecôtiste.”
― Profession du père
― Profession du père
“- Georges, connais-tu Victor Hugo?
J'ai ouvert la bouche en grand. Le phalangiste a ajusté son arme, regard perdu dans le jour tombé.
- Tu connais?
"Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends..." a récité le tueur.
J'ai tremblé à mon tour. Mon corps, sans retenue. J'ai pleuré. Tant pis. (...)
"J'irai par la forêt, j'irai par la montagne,
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au-dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit".
Et puis il a tiré. Deux coups. Un troisième, juste après. Cette fois sans trembler, sans que je sente rien venir. Son corps était raide de guerre. Mes larmes n'y ont rien fait. Ni la beauté d'Aurore, ni la fragilité de Louise, ni mon effroi. Il a tiré sur la ville, sur le souffle du vent. IL a tiré sur les lueurs d'espoir, sur la tristesse des hommes. Il a tiré sur moi, sur nous tous. Il a tiré sur l'or du soir qui tombe, le bouquet de houx vert et les bruyères en fleur.”
― Le quatrième mur
J'ai ouvert la bouche en grand. Le phalangiste a ajusté son arme, regard perdu dans le jour tombé.
- Tu connais?
"Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends..." a récité le tueur.
J'ai tremblé à mon tour. Mon corps, sans retenue. J'ai pleuré. Tant pis. (...)
"J'irai par la forêt, j'irai par la montagne,
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au-dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit".
Et puis il a tiré. Deux coups. Un troisième, juste après. Cette fois sans trembler, sans que je sente rien venir. Son corps était raide de guerre. Mes larmes n'y ont rien fait. Ni la beauté d'Aurore, ni la fragilité de Louise, ni mon effroi. Il a tiré sur la ville, sur le souffle du vent. IL a tiré sur les lueurs d'espoir, sur la tristesse des hommes. Il a tiré sur moi, sur nous tous. Il a tiré sur l'or du soir qui tombe, le bouquet de houx vert et les bruyères en fleur.”
― Le quatrième mur
“J’avais treize ans. Je venais de faire peur à un adulte pour la première fois.”
― Profession du père
― Profession du père
“روزی یکی از دوستانم برایم از پدر و مادرش گفت. آن ها یهودی بودند. در زمان جنگ، پدرش یک هفت تیر کهنه ی انگلیسی را از لا به لای تلّی از پارچه ها پنهان کرده و با چرخ دوخته بود و مادر هر جا می رفت، یک تیغ ریش تراشی در کیفش داشت تا اگر دستگیرش کردند، اعتراف نکند. مادرش هجده سال داشت وپدرش کمی بیشتر. از او پرسیدم:
خودشان را برای مردن آماده کرده بودند؟
لبخند زد. نه، به هیچ وجه. برای زندگی.
مدت ها به این جمله فکر کردم . آماده ی زندگی. و آن روز که در بزرگسالی پیش پدرم برگشته بودم، دانستم که او نتوانسته بود بر من غلبه کند. کینه و نفرت، روحم را نابود نکرده بود. هفت تیرو تیغ ریش تراشی ام را کنار گذاشته بودم. آماده ی زندگی بودم.”
― Profession du père
خودشان را برای مردن آماده کرده بودند؟
لبخند زد. نه، به هیچ وجه. برای زندگی.
مدت ها به این جمله فکر کردم . آماده ی زندگی. و آن روز که در بزرگسالی پیش پدرم برگشته بودم، دانستم که او نتوانسته بود بر من غلبه کند. کینه و نفرت، روحم را نابود نکرده بود. هفت تیرو تیغ ریش تراشی ام را کنار گذاشته بودم. آماده ی زندگی بودم.”
― Profession du père
“Ma mère avait demandé la permission, mais mon père ne lui avait rien répondu.”
― Profession du père
― Profession du père
“Sans prononcer le mot, j'avais rêvé d'un ami. Sans que Loiseau s'en doute, il l'était devenu.”
― L'Enragé
― L'Enragé
“پدرم. آخرین بار. هیکل تنومند، موهای رو به عقب، چشم های کم و بیش بسته. طرحی از شیوه ی سکوتش، خمیدگی پشتش، پاهای بازش، دست هایش و عینکش کشیدم. به پولور قهوه ای اش سایه زدم، به جوراب هایش که خال های آبی داشت چین دادم. کناره های صندلی دسته دارش، بالشچه ی پشمی اش، پرده ی پشت سرش و گل های مصنوعی پارچه ای را در گلدان بدون آب کشیدم.با مداد تندتند می کشیدم. هر چه را که هنوز به چشم می خورد، ضبط می کردم. چهره ی مردی ضعیف، تنها و سرگشته را سرسری ترسیم می کردم. نگاه به زیر افکنده اش را جستجو می کردم. دیگر هیچ چیز در وجودم خانه نداشت. نه خشمی. نه اندوهی. تنم از مشت هایش جان سالم به در برده بود . سرم صدمه ندیده بود.((دارالتادیب)) دیگر چیزی نبود جز یک قفسه ی چوبی.”
― Profession du père
― Profession du père
“- Société bourgeoise, justice bourgeoise, une dégueulasserie !
Il défiait Ronan.
- Qu'est-ce que tu veux que je te dise d'autre, patron ?
- La même chose mais avec ton cœur. Pas avec des slogans.”
― L'Enragé
Il défiait Ronan.
- Qu'est-ce que tu veux que je te dise d'autre, patron ?
- La même chose mais avec ton cœur. Pas avec des slogans.”
― L'Enragé
“rouquin,”
― Profession du père
― Profession du père
“trouillard”
― Profession du père
― Profession du père
“- Et puis pardon, mon fils. Je me suis un peu moquée de toi, tout à l'heure.
J'ai caché mes mains dans mes poches. Je tremblais.
- Pour Ted ? j'ai demandé.
Elle a haussé les épaules.
- Mais non, pour le poisson !
Il avait recommencé à pleuvoir. Une pluie de printemps, fine et légère comme une brume marine.
- Le poisson ?
- Au crématorium. Je l'avais bien vu ton poisson. Il y en avait même deux dans le bassin. Des carpes japonaises, tu le savais ?
Elle avait dans les yeux une lueur nouvelle.
- Alors pourquoi tu m'as dit que tu ne voyais rien ?
- Parce que ça te faisait plaisir. Et tu me serrais tellement fort contre toi.
Elle a eu un geste élégant de la main, puis m'a tourné le dos.”
― Profession du père
J'ai caché mes mains dans mes poches. Je tremblais.
- Pour Ted ? j'ai demandé.
Elle a haussé les épaules.
- Mais non, pour le poisson !
Il avait recommencé à pleuvoir. Une pluie de printemps, fine et légère comme une brume marine.
- Le poisson ?
- Au crématorium. Je l'avais bien vu ton poisson. Il y en avait même deux dans le bassin. Des carpes japonaises, tu le savais ?
Elle avait dans les yeux une lueur nouvelle.
- Alors pourquoi tu m'as dit que tu ne voyais rien ?
- Parce que ça te faisait plaisir. Et tu me serrais tellement fort contre toi.
Elle a eu un geste élégant de la main, puis m'a tourné le dos.”
― Profession du père
“torchon.”
― Profession du père
― Profession du père
“نامه را دوباره خواندم. خنده ام گرفت. روی صحنه پدرم بود، آکروبات باز تماشاخانه، کسی که مدام تغییر شکل می داد، دلقک، تردست، بندباز، معرکه گیر بازار روز، فروشنده ی قصه های کودکان. و در تالار نمایش، ما بودیم: مادرم، من، لوگری تعمیرکار، آلونسو آرایشگر، هلگرس طبیب. و آن های دیگر: بانوی متصدی باشگاه جودو، دندانپزشک، فروشنده ی دوچرخه، عابران روز یکشنبه.
(( رخنه کردن در ارتش اس.اس ))”
― Profession du père
(( رخنه کردن در ارتش اس.اس ))”
― Profession du père
“On se débattait parce qu’on espérait s’en sortir, c’était utilitaire, c’était ignoble. Tandis que la tragédie, c’était gratuit. C’était sans espoir.”
― Le quatrième mur
― Le quatrième mur
“La violencia es un signo de debilidad.”
― Le quatrième mur
― Le quatrième mur
“Ted était retourné dans le Tennessee en janvier 1960, et voilà qu’il revenait en France pour la première fois.”
― Profession du père
― Profession du père
“Ta guerre avait fasciné mon ami historien. Un jour que nous dînions ensemble, il m’a demandé si je n’aurais pas préféré avoir un père “seulement” collabo. Quelque chose de simple, une saloperie sur quoi pleurer, cogner, qu’il me faudrait pouvoir admettre ou condamner, mais voilà que j’avais hérité du pire. Je me débattais dans l’épais brouillard qui entourait ton lac allemand. Tu restais une question et ta guerre était une folie. Elle ne me permettait ni de te comprendre ni de te pardonner.
Une fois encore, je t’en ai voulu. J’étais blessé. Ta vérité n’avait pas plus de sens que tes mensonges.”
― Enfant de salaud
Une fois encore, je t’en ai voulu. J’étais blessé. Ta vérité n’avait pas plus de sens que tes mensonges.”
― Enfant de salaud
“در ماه سپتامبر آن سال،وقتی که با پرسشنامه به خانه برگشتم، پدر عصبی بود.شغل پدر؟ مادر جرئت نکرد پرسشنامه را پر کند. پدرم سرم قر زد:- راستش را بنویس :(( مامور مخفی)) قال قضیه کنده می شود. من اینها را آدم حساب نمی کنم.
نگاهش کردم. همیشه از خودم می پرسیدم که چه چیز ناجوری در زندگیمان وجود دارد. هیچ کس به خانه مان نمی آمد، هیچ وقت. پدر قدغن کرده بود. هر گاه کسی زنگ را می زد، دستش را بلند می کرد تا ما را به سکوت وادارد. منتظر می ماند تا آن که پشت در بود، منصرف شود و به صدای پایش در راه پله ها گوش می داد. پس از آن کنار پنجره می رفت، پشت پرده پنهان می شد و پیروزمندانه او را که داشت از کوچه مان دور می شد، نگاه می کرد. هیچ یک از دوستانم اجازه نداشتند که از در خانه مان تو بیایند. و هیچ یک از همکاران مادر. همیشه تنها ما سه تا در آپارتمان بودیم. حتی پدربزرگ و مادربزرگم به آنجا نیامدند.”
― Profession du père
نگاهش کردم. همیشه از خودم می پرسیدم که چه چیز ناجوری در زندگیمان وجود دارد. هیچ کس به خانه مان نمی آمد، هیچ وقت. پدر قدغن کرده بود. هر گاه کسی زنگ را می زد، دستش را بلند می کرد تا ما را به سکوت وادارد. منتظر می ماند تا آن که پشت در بود، منصرف شود و به صدای پایش در راه پله ها گوش می داد. پس از آن کنار پنجره می رفت، پشت پرده پنهان می شد و پیروزمندانه او را که داشت از کوچه مان دور می شد، نگاه می کرد. هیچ یک از دوستانم اجازه نداشتند که از در خانه مان تو بیایند. و هیچ یک از همکاران مادر. همیشه تنها ما سه تا در آپارتمان بودیم. حتی پدربزرگ و مادربزرگم به آنجا نیامدند.”
― Profession du père
“مادرم داشت چیزی می بافت، از بالای میل ها به تصویر نگاه می کرد.- خانم ها چه گل های قشنگی دارند.
خانم دو گل و خانم کندی در تالار پذیرایی فرودگاه اورلی نشسته بودند و هر یک دسته گلی به دست داشتند. پدر پوزخند زنان گفت: - این هم از مادرت. کندی تو فرانسه است و تنها چیزی که مادرت می بیند، دسته گل زنش است!
مادر افزود: - کلاه قشنگی هم دارد
مادر، در طول این سال ها، می دانست که چه وقت اجازه ی لبخند زدن دارد. آن شب، شب آرامی بود. می توانست لبخند بزند.
کندی به میکروفون نزدیک شد. دوگل نگاهش می کرد. رییس جمهور آمریکا گفت:- هر انسانی دو وطن دارد فرانسه و وطن خودش.
پدر زد به خنده
- عجب خنگی است این تد!
او اولین عبارت کلیشه ای را به پدر تعمیدی ام گفته بود تا به گوش رییس جمهور کشورش برساند، نه اینکه رییس جمهور آن را در تلیویزیون بیان کند. وقتی که از پدرم پرسیدم چرا تد هرگز نیامده است که مرا ببیند، شانه بالا انداخت.
- می گوید باید شایستگی اش را داشته باشی.
پیش از آنکه بخوابم، در نور چراغ قوه ی جیبی ام، چند دسته گل برای مادر کشیدم. و همچنین چند کلاه.”
― Profession du père
خانم دو گل و خانم کندی در تالار پذیرایی فرودگاه اورلی نشسته بودند و هر یک دسته گلی به دست داشتند. پدر پوزخند زنان گفت: - این هم از مادرت. کندی تو فرانسه است و تنها چیزی که مادرت می بیند، دسته گل زنش است!
مادر افزود: - کلاه قشنگی هم دارد
مادر، در طول این سال ها، می دانست که چه وقت اجازه ی لبخند زدن دارد. آن شب، شب آرامی بود. می توانست لبخند بزند.
کندی به میکروفون نزدیک شد. دوگل نگاهش می کرد. رییس جمهور آمریکا گفت:- هر انسانی دو وطن دارد فرانسه و وطن خودش.
پدر زد به خنده
- عجب خنگی است این تد!
او اولین عبارت کلیشه ای را به پدر تعمیدی ام گفته بود تا به گوش رییس جمهور کشورش برساند، نه اینکه رییس جمهور آن را در تلیویزیون بیان کند. وقتی که از پدرم پرسیدم چرا تد هرگز نیامده است که مرا ببیند، شانه بالا انداخت.
- می گوید باید شایستگی اش را داشته باشی.
پیش از آنکه بخوابم، در نور چراغ قوه ی جیبی ام، چند دسته گل برای مادر کشیدم. و همچنین چند کلاه.”
― Profession du père
“Le froid de l'hiver, la brûlure de l'été, l'odeur de nos corps sales, la faim, les punaises, les poux, la gale. Je nettoyais sept ans de bagne à grande eau. A coups de hargne. J'étais enragé. Je respirais. Je vivais.”
― L'Enragé
― L'Enragé




